Le volet du projet de loi de modernisation sociale, adopté le 13 juin dernier en deuxième lecture par l'Assemblée nationale, concernant les licenciements pour motif économique fait monter au plafond la droite. Cette dernière, majoritaire au Sénat, a même refusé que cette chambre examine le texte en deuxième lecture avant l'automne. Son obstruction parlementaire retarde ainsi d'autant la mise en application de la loi, alors que ne cesse, pourtant, d'enfler la vague des licenciements.
Un article PDF, ci-joint, de Yves Dimicoli