Paul Boccara présente ici quelques remarques, d'ordre général, sur l'article de V. Largentière : « Le capitalisme contemporain et la croissance » paru dans deux précédents numéros de la revue.
V. Largentière s'est attaqué à un problème extrêmement important et difficile, pour la solution duquel il apporte de nombreux éléments intéressants.
Il s'est efforcé, d'autre part, d'introduire des nuances et des restrictions nécessitées par la complexité de la question et la fragilité des sources d'information.
Sans méconnaître les mérites de l'étude et sans s'attacher à tous ses aspects, Paul Boccara fait, ici, quelques réserves et quelques suggestions de portée théorique générale.