Avec une quasi unanimité, toutes les restructurations de la pêche, notamment européennes, ont été mises en œuvre au nom de la « ressource » en voie de raréfaction, qu’il fallait protéger. Mais examiner ces restructurations à partir de la stratégie des groupes de l’agroalimentaire ou de la distribution, comme du point de vue des marchés financiers mondialisés, c’est leur donner une cohérence particulière qui relativise quelque peu la préoccupation écologique par ailleurs légitime.