En France, l’évolution de la conjoncture économiqu e, le débat sur les réponses, les mesures que le gouvernement prendra conditionne ront les élections présidentielles et législatives. Or, les dirigeants français et europée ns maintiennent un optimisme incons idéré sur la croissance en affirmant que les économies sont « saines », « l’inflation maîtrisée » et « la consolidation budgétaire a progressé » (1). Il n’est donc pas question de « remettre en cause le Pacte de stabilité », « complément optimal de la politique monétaire de la BCE » (2).
Un article PDF, ci-joint, de Fabien Maury