Le facteur qui passe chaque matin, les petits retraits d’argent pour la vie de tous les jours effectués sur le livret d’épargne populaire, le bureau de poste du village comme souvent la dernière présence du service public depuis la fermeture de la gare… C’est ainsi qu’on voit La Poste et qu’on s’y déclare attaché.
Un article PDF, ci-joint, de Michel Dauba